Explications sur mon approche "non-éducative"

Il y a quelque chose qui me dérange profondément dans l’idée qu’une espèce — l’humain — se donne le droit d’éduquer une autre — le chien, en l’occurrence .

Pourquoi ce besoin de contrôler, de corriger, de modeler ?

D’où vient cette impression qu’on a tout à lui apprendre, et rien à recevoir en retour ?

Et si, au lieu de toujours chercher à « bien » l’éduquer, on apprenait à mieux l’écouter ?

Pour cela il faut les laisser s’exprimer !

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C’est quoi, au juste, un « bon » comportement ?

Et surtout… bon pour qui ? Pour nous, les humains, ou pour lui ?

Qui décide de ce qui est acceptable, de ce qui mérite l’étiquette « bon » ou « mauvais » ?

Pourquoi vouloir absolument tout simplifier en noir ou blanc, en « il est bien éduqué » ou « il est mal éduqué » ?

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Le problème avec un chien « bien éduqué », c’est qu’on ne voit pas toujours ce qu’il ressent.

Un chien peut être calme, obéissant (comme je déteste ce mot !), silencieux… et pourtant, être anxieux, dépassé, stressé, résigné.

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L’obéissance, qu’on valorise tant, peut cacher beaucoup de choses.

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C’est super, il n'aboie plus, il marche au pied sans tirer, reste sagement dans son panier: enfin ! il obéit !

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Mais… à quel prix ?

Quand on ne regarde que le résultat, on trouve l’image parfaite, comme celle que l’on partage sur les réseaux sociaux, mais quelle est la réalité ?

Alors oui, je vous entends déjà :

« Mais si on n’éduque pas… on fait quoi ? »

On observe.

On écoute.

On cherche à comprendre.

On crée un dialogue — pas du haut vers le bas, mais d’égal à égal.

On co-habite, comme le chien et l’humain font depuis des siècles, sans chercher à changer l’autre.

Je suis là pour vous aider à comprendre. Avec assez d’informations, tout comportement devient compréhensible.

Avec la compréhension vient l’acceptation.

Tout le reste coule de source...